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BULLETIN D'INFORMATION

ÉDITÉ PAR LA COMMISSION D'ISRAËL

ENCOURAGEMENTS A ISRAËL,CENTRE ÉTERNEL DE L'ATTENTION DU MONDE


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LE GOLAN UN DES GRANDS OBSTACLES AUX NEGOCIATIONS DE PAIX

 

L'acte de propriété de la Terre Sainte décrit en Ezéchiel 47 : 14-­20, délimite les vraies frontières d’Israël, le seul pays ayant ses frontières inscrites dans la Torah. — « Je ne vous donnerai rien de leur pays.... car j'ai donné la montagne de Séhir [Arabie] en possession à Ésaü » — Deut. 2 : 5. Dieu met en garde Israël de ne pas empiéter sur leur territoire.

En ce qui concerne le GOLAN, attribué aux Israélites, la ville, déjà citée en Deut. 4 : 41-43 « C'est alors que Moïse désigna trois villes en deçà du Jourdain, à l'orient, pour servir de refuge au meurtrier qui ferait mourir son prochain sans préméditation et sans avoir été précédemment son ennemi, afin qu'en se réfugiant dans une de ces villes, il pût sauver sa vie. C'étaient: Bécer, dans le désert, dans le plat pays appartenant à la tribu de Ruben ; Ramoth, en Galaad, à la tribu de Gad, et Golan, dans le Basan, à celle de Manassé », est clairement désignée comme l’une des six villes de refuge en Josué 20 : 8 ; 21 : 27 et 1 Chron. 6 : 71. voir la traduction : Sefarim

Ceux qui ont pu monter sur les hauteurs du Golan, pourront peut-être constater que nul dirigeant en ISRAËL ne pourrait prendre la décision de mettre à nouveau son pays en danger mortel en rendant ce plateau. Les hommes (politiques) proposent, l'Éternel dispose !

En effet la Syrie réclame la restitution du haut plateau qui surplombe le lac de Tibériade. Mais dans les kibboutzim de la région on n'a pas oublié que pendant 19 ans, depuis la guerre d’indépendance de 1948 jusqu’à la guerre des six jours, les syriens n’ont pas cessé de tirer sur tout ce qui bougeait. Ce qui veut dire qu’un israélien né l’année de la fondation de l’État a du attendre 20 ans dans les abris souterrains avant de pouvoir dormir sous les étoiles. voir la vidéo.

Chaque donation et non restitution de territoire, n’a fait qu’endurcir les cœurs des adversaires d’Israël. La donation de la bande de Gaza, a été récompensée par des attaques terroristes et des kassams en quantité, ce qui a obligé la majeure partie des israéliens de quitter Sderot ou de vivre dans la frayeur. Nous voyons aujourd’hui le résultat d’une politique terre contre paix. Les événements à Gaza (écrit en juin 2007) sont la conséquence inévitable de la faiblesse des concessions et des retraits d’Israël. Chaque territoire évacué a été récupéré par les extrémistes. Le fait de laisser croire aux squatters qu’ils peuvent espérer de cette manière ou d’une autre obtenir cette terre, est une des plus graves erreurs qu’Israël est en train de commettre.

Beaucoup de Juifs ont prié pendant des siècles « l’an prochain à Jérusalem ». Leurs yeux se sont fermés sans voir Jérusalem. La RÉINSTALLATION [ITNAHALOUT] sur des terres possédées par leurs ancêtres, n’est qu’une restitution ; le peuple Juif est le propriétaire de cette terre aux yeux de son DIEU. Pourtant Israël se fait voler ses terres sous son nez, Israël partage les terres que Dieu lui a données pour que d'autres peuples plantent leurs idoles, invoquent leurs dieux.

Des nations chrétiennes et islamiques, qui prétendent croire en Dieu, ont complètement dédaignées par leurs actions négatives, les promesses du Créateur faites à Abraham, Isaac et Jacob que toute la Terre Sainte demeure la possession éternelle des Juifs.

Il est bien possible que si les nations du monde ne sont toujours pas bénies mais qu'elles sont maudites par des guerres, ce soit parce qu'elles ont fait obstacle à la juste revendication d'Israël sur sa terre. La prospérité des nations dépend donc de leur attitude à l'égard du peuple Juif dans son ensemble.

Les enfants d'Ismaël et d'Ésaü qui prétendent, que puisqu'ils jouissent des privilèges de ce pays depuis tant de siècles, il leur appartient de droit devraient se rendre compte, qu'ils ont simplement au mieux « des droits de squatters » et que cela ne leur donne pas le droit légitime au pays. Ils feraient bien de se retirer du pays que Dieu a donné à Israël, d'occuper et de développer les terres que Dieu leurs a réservées.

L'espérance pour le Juif survient à une époque où l'espérance pour le monde Gentil fait défaut, à mesure que s'imposent l'incertitude, la crainte et un désespoir grandissant. Les Marxistes, les Monétaristes [certains théoriciens économistes] et tous les philosophes politiques et économiques modérés ont visé une prospérité future, mais sans effet. Ils ont cherché, par une nouvelle croissance industrielle, par de nouvelles structures sociales, par de nouvelles alliances et fusions et par tous les moyens concevables, à stabiliser leur propre situation et celle du monde. Les nouvelles journalières constituent un catalogue déprimant de leurs échecs.

En opposition totale à leur compréhension des choses, la réponse — la seule réponse — à leurs problèmes et la clé d'une sécurité et d'une prospérité mondiale, réside dans le passé où des vérités négligées ont été masquées par le mouvement des affaires de notre civilisation actuelle. Il appartient au Juif — et en particulier au Juif Israélien — de comprendre cet état de choses, car ces vérités négligées lui appartiennent. En cette époque, où les dirigeants et les sociétés des Gentils perdent confiance en eux-mêmes et en leurs usages, Israël émerge de son passé historique et religieux avec la perspective d'un futur brillant d'espoir. Cependant, si nous considérons la situation actuelle d'Israël, qui pourrait croire une telle chose ?

Sous la menace extérieure de forces armées et d'un boycott économique, largement dépassé en nombre par ses ennemis jurés, avec des alliés au soutien hésitant, déchiré intérieurement par des factions politiques, religieuses et ethniques, avec une économie subissant les effets d'une inflation galopante à laquelle peu de pays pourraient survivre — où peut-on trouver une raison d'espérer ?

La meilleure et peut-être la seule réponse à une question aussi profonde et aussi complexe est simple et générale. Toute l'espérance d'Israël, qui, à son tour renferme l'espérance fondamentale de toute l'humanité, est contenue en un seul mot : « Sionisme » : Michée 4 : 2, 3. — Ps.  48 : 2. Comme la main d’Abraham a été retenue de tuer son fils Isaac, ainsi les ennemis d’Israël, qu’ils soient Arabes ou Gentils, seront contrecarrés dans leurs efforts de destruction du peuple Juif. « Aucun instrument formé contre toi ne réussira » écrit le prophète Ésaïe.

Ceux qui luttent contre Israël en ce moment, dans une ignorance totale des Écrits ou une ignorance voulue, luttent contre Dieu lui-même. En effet de plus en plus l'histoire passée du peuple Juif est mise à l'index, de peur d'y trouver quelques éléments pouvant prouver sa légitimité. Aucune œuvre n'est plus belle et n'ennoblit davantage que l'étude révérencielle des desseins révélés de Dieu.

Le fait que la sagesse de Dieu pourvut à des prophéties concernant l'avenir, ainsi qu'à des déclarations touchant le présent et le passé, est en lui-même, de la part de l'Éternel, une censure de la folie de quelques-uns de ses enfants, qui ont excusé leur ignorance et leur négligence de l'étude de sa Parole, en supposant que la prophétie ait été donnée simplement pour satisfaire la curiosité relativement à l'avenir.

Tout ce trouble préparera le monde à se convaincre que, quelque bons et sages que soient les plans et les institutions que les hommes projettent et mettent à exécution, toutes leurs tentatives seront inutiles aussi longtemps que l'ignorance et l'égoïsme domineront parmi eux.

Israël veut la paix, OUI — mais une paix de vivant.

 

redaction@israelvivra.com

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